Affable, ouverte, Stéphanie Yao, entrepreneure multisectorielle, n’hésite pas à partager cet épisode douloureux de sa vie au cours duquel le destin lui a arraché, l’être qui lui coûtait le plus cher au monde, son époux. En publiant « Comment j’ai surmonté la perte d’un être cher », cette jeune femme aux traits sympathiques, retrace en détails, les circonstances de la disparition tragique et brutale de l’amour de sa vie. Découverte à travers cet entretien accordé à la rédaction d’Ivoireinfotv.com.
R.M : Stéphanie Yao, bonjour. Du premier regard, la couverture de votre livre interpelle. Pouvez-vous nous situer sur la tragédie derrière cet ouvrage ?
Bonjour à vous. Merci pour l’opportunité que vous me donnez de pouvoir m’exprimer sur mon livre. Ce livre inspiré de ma propre histoire relate la brutalité et la séparation d’un être cher. Il s’agit de mon défunt mari. C’est un témoignage réel de mon expérience face à la tristesse et la souffrance. C’est surtout une exploration du processus de guérison qui m’a aidé pendant cette tempête.
R.M : En partageant votre histoire avec le grand public, est-ce un effet cathartique que vous recherchez ?
Oui en quelque sorte, je recherche un effet cathartique en parlant de mon histoire. Car ce livre, je l’ai écrit sous inspiration divine. A travers, mon histoire beaucoup de personnes qui souffrent en silence et qui ont vécus les mêmes situations que moi pourrons certainement être fortifiées.
R.M : Comment est-ce que le public a accueilli l’ouvrage ?
J’ai été agréablement surprise. J’ai eu tellement de bons retours du public que j’ai compris que ce livre ne m’a pas été inspiré en vain.
R.M : Aujourd’hui, quelle réorganisation donnez-vous à votre vie de famille avec vos enfants ?
Bien vrai que le chef de famille n’est plus, Dieu par sa grâce a fait que je suis devenue entrepreneure, fondatrice d’une agence de voyage et d’une marque de bijoux importés. Mes enfants et moi avons une discipline de vie importante et le Saint-Esprit reste le premier parrain dans nos vies.
R.M : Merci Stéphanie Yao et encore plus de courage…
Merci également à vous…